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margaux

2 novembre 2007

pub noël

Léa Passion Mode

Léa Passion Bébésj'adore

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3 juillet 2007

chanson: désole pour hier soir....

2 juillet 2007

JE SUIS DEG

AUJOURD'HUIT JE NE VERAI PLUS

MA MEILLEURE AMIE AVANT MON ANNIV

ET APR2S JE LA VERAI PLUS IL N? A PAS QUE

MOI QUI EST DEG  IL Y A SON PTIT COP IL S4ENTENTANDE SUPER BIEN

MON JE TE FAIT UNE GROSSE BISE MA PETITE PHIPHI

2 juillet 2007

CRISTOPHE MAE ON S'ATTACHE

21 juin 2007

MOI ET MA MEILLEUR AMIE

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20 juin 2007

CASCADA

20 juin 2007

CHOIT TROP MIMI

20 juin 2007

TROP CHOUUUUUUUUUUU

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estebanlowres7gm_1_liloo_1_mois_1_liloo_grimace_1_

22 février 2007

salut a tous

                                                          mon animal préferé

                                                               orque

DESCRIPTION

L’orque est le plus gros représentant de la famille des dauphins. Sa taille, sa robe noire et blanche ainsi que sa grande nageoire dorsale sont des signes très distinctifs. Les mâles atteignent une longueur de 8 à 9 mètres et pèsent jusqu’à 5 tonnes. Les femelles sont plus petites : 7 mètres pour un poids voisin de 4 tonnes. Leur robe est à dominante noire sur le dos et blanche sur le ventre, avec une tâche ovale blanche derrière chaque œil. Chez les mâles adultes, les nageoires pectorales, taillées comme des pelles, sont très grandes et les deux pointes de la queue sont courbées vers le bas.

C’est la nageoire dorsale que l’on aperçoit en général en premier. Chez les mâles adultes, cette nageoire se dresse bien droite et mesure souvent jusqu’à 1,8 m de haut. Chez les femelles et les jeunes, cette nageoire est incurvée et mesure moins de un mètre de haut. Derrière la nageoire dorsale, il y a une tache en forme de selle. La forme de la nageoire dorsale et de cette tache, ainsi que les marques qu’elles portent, sont uniques à chaque spécimen d’orque. En photographiant la nageoire dorsale des orques, les chercheurs sont capables de différencier chaque individu.

COMPORTEMENT 

Le son est très important pour les orques. Chaque groupe familial possède son propre répertoire de cris et d’appels que les baleines poussent en expulsant l’air de leur soufflet. Ces cris et ses appels forment une sorte de dialecte propre au groupe. Certains dialectes sont tellement caractéristiques que même une personne non expérimentée peut les reconnaître. Les chercheurs pensent que plus le lien de parenté est proche entre deux groupes, plus leur dialecte se ressemble.

Les orques émettent également des cliquetis lorsqu’elles passent à proximité d’objets dans l’eau. Il s’agit d’un sonar naturel utilisé par l’orque pour localiser les objets par écholocation et qui est très utile lorsqu’elle cherche de la nourriture ou qu’elle navigue en eaux troubles.

On ne connaît pas grand chose du comportement sexuel des orques sauvages. Les femelles mettent en général bas leur premier petit lorsqu’elles ont entre 14 et 15 ans, après l’avoir porté 17 mois, une des plus longues gestations chez les baleines. Les nouveau-nés mesurent 2,5 m de long, pèsent 200 kg, tètent le lait gras de leur mère pendant un an.

En 1972, des chercheurs ont commencé à prendre des photographies de chaque individu. Grâce à ces clichés, et en observant quel individu se déplace avec quel autre, les spécialistes ont appris que la vie familiale de ces orques était centrée sur les femelles et qu’une mère et son petit restent ensemble toute leur vie. Même parvenus à maturité, les frères et les sœurs ne s’éloignent jamais de leur mère. Certaines orques, en particulier les femelles, peuvent vivre aussi longtemps que les humains.

Grâce à toutes ces informations, les chercheurs sont parvenus à dresser des arbres généalogiques pour toutes les orques résidentes de la Colombie-Britannique. Les membres de chaque famille, ou groupe, sont identifiées par une lettre et par un nombre. Cette méthode est très pratique pour les chercheurs et les observateurs de baleines. Ils parviennent souvent à identifier à quelle famille ils ont affaire en n’identifiant qu’une seule des baleines du groupe.

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